Cet animal amphibie du zodiaque, à la fois intelligent, élégant, indépendant et impitoyable, commencera son règne cosmique le 29 janvier 2025
Ce signe est réputé pour son intelligence, son calme et son charme naturel.
Sous son influence, l’énergie Yin féminine et réceptive dominera, nous invitant à la réflexion et à la prise de recul plutôt qu’à l’action précipitée.
Dans la nature, peu d’animaux sont aussi redoutés que les serpents.
Mais également dans de nombreuses cultures, ces créatures rampantes représentent le renouveau en raison de leur capacité à changer de peau.
Le serpent est un animal puissant, élevé à la hauteur d’un dieu, incarnant la sagesse et l’intuition pour plusieurs civilisations comme les Mayas, les Chinois et les Égyptiens.
Dans l’Empire du Milieu, il est synonyme de clairvoyance et son énergie est mystérieuse, introspective, réceptive, froide et protectrice.
En Chine, cet animal est en effet associé à la fois à la longévité et à la mort, puisque son poison est à la fois le mal et son remède.
Le bois représente la créativité, la sagesse et le savoir.
Ces caractéristiques sont très en phase avec l’énergie du serpent, qui assure une année d’abondance et d’innovation.
Le Serpent, gardien des secrets millénaires, apporte une énergie introspective et visionnaire, idéale pour ceux qui cherchent à approfondir leur connaissance de soi et à explorer de nouvelles voies.
Le Bois, élément associé à la croissance et à la flexibilité, renforce cette dynamique en favorisant l’innovation et l’adaptabilité.
Attendez-vous à une année riche en surprises et en opportunités, où la spiritualité et le développement personnel seront à l’honneur.
Cependant, attention aux non-dits et aux mystères non résolus, car le Serpent sait se faufiler là où on l’attend le moins !
Qu’elle soit remplie de joie et de moments précieux à partager.
Souhaitons-nous de découvrir de nouvelles expériences et de renforcer les liens qui nous tiennent à cœur. Bousculons la routine et prenons le temps d’apprécier les petites choses qui rendent la vie si belle.
Croyons en nos rêves, car ils sont à portée de main.
Chaque jour est une nouvelle chance d’apprendre et de s’épanouir. N’oublions pas de prendre soin de nous et de ceux que nous aimons.
La santé est un précieux cadeau que nous devons tous chérir. Osons regarder vers l’avenir avec optimisme.
Ensemble, faisons de 2025 une année mémorable, pleine de rires et de bonheur partagé.
La solitude est souvent perçue négativement dans nos sociétés modernes hyper connectées. Et c’est pourtant un élément essentiel pour s’extraire des « dix mille » distractions et des préoccupations éphémères. La solitude nous offre un espace pour se reconnecter avec la véritable nature de notre l’Esprit et avec le Tao, la Voie. Il est dit : « le sage se retire et c’est ainsi qu’il progresse ». Le concept de Wu Wei, « le non-agir » est central dans le taoïsme. Wu Wei ne signifie pas l’inaction totale, mais plutôt une action en accord avec le flux naturel des choses. Nous devons accepter les moments de solitude comme une partie naturelle de l’existence. En pratiquant le « non-agir », nous apprenons à être en paix avec nous-mêmes, à apprécier le silence et à trouver la sérénité dans l’absence d’activité. Lao-Tseu explique : « le Tao ne fait rien, mais rien n’est laissé de côté ». En se retirant dans la solitude, on peut observer les rythmes naturels de la vie, sans interférence, apprenant ainsi à agir en harmonie avec eux. Ces périodes de solitude nous permettent de nous détacher des ambitions et des désirs artificiels en cultivant une présence sereine et consciente.
La nature est un modèle et un compagnon précieux dans la pratique de la solitude. En se retirant dans la nature, nous pouvons ressentir directement la grandeur et la simplicité du Tao. Les montagnes, les rivières et les forêts deviennent des lieux de méditation et de contemplation ou la solitude nous permet de nous reconnecter aux forces naturelles. La solitude nous permet de retrouver et cultiver ce calme intérieur, cette ouverture du Cœur qui sont autant d’éléments essentiels pour un bon rééquilibrage de nos énergies. En effet, en étant seul face à nous-mêmes, nous pouvons méditer, contempler et trouver la paix intérieure, loin des distractions et des influences extérieures. La solitude nous permet de « suivre notre propre nature ». Elle nous permet de sonder nos désirs, nos peurs et nos motivations profondes. C’est un espace de liberté personnelle où nous pouvons être authentiques et véritables. Lorsque nous nous retrouvons seuls, face à nous-mêmes, sans information extérieure, sans portable ni écouteur, nous nous mettons à « l’écoute de notre âme », cette parcelle de Dieu qui nous habite. Le Ciel aura tôt fait alors de nous envoyer « des perches de Vie », des « intuitions de Vie » qui nous permettront d’avancer sur le Chemin. Marcher seul en plein air, se laisser imprégner par les sons et les lumières, nous permet d’atteindre un état de « zénitude », qui est sans doute l’un des meilleurs remèdes offert par la nature. Soyez à l’aise avec vous-même quand vous êtes seul.
Il existe des émotions qui élèvent, telles que la joie, le sourire du Cœur, le contentement, l’allégresse et le bonheur. À l’opposé, certaines peuvent être qualifiées d’« émotions lourdes ». Parmi elles se trouvent la tristesse, l’inquiétude, la réminiscence, le souvenir, la peur, le stress et l’angoisse. N’est-ce pas là ce qu’on appelle souvent le « poids des soucis » ? À l’image du Penseur de Rodin, une personne dépressive a tendance à adopter une posture voûtée et à diriger son regard vers le bas. Cela donne l’impression que la terre elle-même cherche à la rappeler à elle. Et si nous utilisions les enseignements du taoïsme pour nous extraire des « sables mouvants » des émotions « basses » ? Nous sommes de simples voyageurs sur cette terre. À quoi bon porter un sac à dos de plusieurs dizaines de kilos qui ralentit notre progression ? Il suffit de s’en défaire pour se sentir instantanément plus léger. Je citerais François Cheng de l’Académie française : « Il y a une légèreté dans l’âme qui vient de la certitude que rien n’est tout et que tout est temporaire. » Imprégnons-nous de cette image : l’âme s’envole vers les cieux tandis que le corps retourne à la terre. Quelques pistes pour éviter d’alourdir cette âme, pour se trouver le plus possible « bien ici et maintenant », pour se sentir « léger ». En premier lieu, apprendre à gérer ses émotions est une condition essentielle pour éviter de s’enfermer dans la « prison de l’ego ». Cesser d’être cette mouche qui se heurte sans cesse à la paroi d’une vitre, sans réaliser que, juste à côté, une fenêtre ouverte offre la liberté du mental. Apprendre à lâcher prise. Les Chinois appellent cela le Wu Wei, le « non agir » ou tout au moins « agir sans effort ». Quand nous œuvrons ainsi, s’installe au plus profond de notre âme une sorte de légèreté. Point de contrainte, point de résistance et de perte de force inutile. Apprendre à vivre simplement, en se contentant de peu, être authentique, sans masque ni prétention. Être soi nous libère de la pression du paraître autrement que l’on est. On évite ainsi des complications qui alourdissent l’âme. Apprendre à vivre en harmonie avec la nature, à s’aligner sur les rythmes naturels et les cycles de la vie. Là aussi les tensions internes, les résistances diminuent. Notre âme flotte librement au gré de la voie du Tao. Apprendre à accepter le changement et les épreuves de la vie comme des composantes inévitables de la dualité est essentiel. Reconnaître que rien n’est permanent et que la vie est un flux constant de transformation est un facteur crucial pour alléger son esprit. Apprendre la ‘non-pensée’ en intégrant de multiples moments de lâcher-prise tout au long de la journée est essentiel. Des pratiques telles que la méditation, la relaxation, le Qi Gong et la marche consciente nous aident à nous libérer du poids des émotions et des ‘dix mille pensées’ qui nous accablent. Ceci évite la lourdeur et l’engluement du mental, favorisant une plus grande clarté d’esprit, une « légèreté de l’Âme » ZhuangZi disait : « je laisse mon Cœur vagabonder dans la simplicité ». En pratiquant ces principes, l’âme reste « légère et flexible », capable de naviguer même en eaux troubles. Cette approche nous offre un refuge contre le tumulte du monde matériel et nous permet également de nous connecter au Ciel et de comprendre notre place dans l’univers. À la fin de notre existence, à l’instar d’un ballon gonflé à l’hélium, l’âme rompra ses amarres et s’élèvera légèrement vers de nouveaux cieux.